Les 7 clés idéales pour soigner votre syndrome du sauveur
7 symptômes et solutions pour le reconnaître et vous apaiser
Il vous arrive de vous sentir happés par un besoin insatiable d’aider d’autres personnes ? Ce sentiment vous amène parfois à mettre au second plan vos propres besoins et émotions ? Vous vous sacrifiez souvent pour les autres comme si leurs envies et leurs besoins avaient plus de valeur que les vôtres ? Dans un groupe, vous êtes souvent le Protecteur de la veuve et de l’orphelin ou encore l’avocat de la personne acculée et rejetée ? Votre entourage vous reconnaît pour vos valeurs chevaleresques, protectrices et tournées vers les autres ? Vous avez déjà pensé « C’est ma mission, je suis né pour aider les autres » ?
Si vous avez répondu à l’affirmative à la majorité de ces questions, il est fortement possible que vous souffriez du syndrome du sauveur.
Dans cet article, nous allons voir une brève définition du syndrome du sauveur puis, les 7 symptômes qui indiquent que vous souffrez de ce syndrome et les 7 solutions pour vous en libérer définitivement et pour vous permettre de vous apaiser.
Le syndrome du sauveur
Le syndrome du sauveur est un trouble qui implique de la souffrance chez la personne qui en est atteinte. Il s’agit d’un schéma comportemental selon lequel la personne se sent responsable de sauver les autres, souvent en tentant en permanence de résoudre leurs problèmes à leur place.
Les intentions de cette personne semblent admirables, pourtant cet excès d’aide aux autres personnes peut devenir néfaste pour les deux parties. En effet, la personne atteinte du syndrome du sauveur a parfois tendance à dépasser ses limites et à négliger ses propres besoins et ses émotions. L’aide qu’elle apporte aux autres, peut ainsi mettre en péril sa santé mentale et physique.
La personne atteinte de ce syndrome est une personne fragile sur le plan psychologique. Elle vit avec une insécurité émotionnelle due à une dépendance affective non consciente. Elle a donc besoin de recevoir de la gratitude et de la reconnaissance d’autrui, afin de pouvoir se sentir légitime d’être aimée. C’est pour cette raison qu’elle tente en permanence d’apporter de l’aide à des personnes qui lui semblent fragiles. Cette façon de créer une relation, permet une forte co-dépendance entre la personne qui reçoit l’aide et la personne qui l’offre. La co-dépendance éloigne le risque d’abandon et réduit donc la peur de l’abandon.
Ainsi, la personne atteinte du syndrome du sauveur est rassurée lorsqu’elle vient en aide à quelqu’un. Elle peut plus facilement se sentir digne d’être aimée, utile et en sécurité émotionnelle et affective. Bien évidemment, elle aide les autres de façon très naturelle car elle se sent investie de cette mission, et n’a pas conscience d’être guidée par ses mécanismes psychologiques. Si vous souhaitez en savoir plus sur les origines de ce trouble, je vous invite à lire cet article plus détaillé, qui traite le sujet intégralement.
En donnant tout pour les autres, la personne atteinte du syndrome du sauveur peut aussi plus facilement fermer les yeux sur ses problèmes personnels et favoriser une belle image d’elle-même (pour les autres et pour elle). Le syndrome du sauveur est une tentative de revalorisation narcissique (renforcement de l’estime de soi).
Nota Bene : Le terme « narcissisme » n’a à mon sens, pas de valeur péjorative. Au contraire, il évoque à la fois l’estime de Soi, la confiance en Soi et l’amour de Soi. Le narcissisme est donc nécessaire à l’élan vital, et non un défaut à blâmer.
A différentier de « l’égocentrisme » où la personne est complètement centrée sur elle-même sans considération d’autrui, le narcissisme modéré est sain en ce qu’il apporte un respect de soi.
Le syndrome du sauveur est caractérisé par une blessure narcissique de la personne qui en est atteinte. Dotée d’une faible estime de soi, elle a tendance à mettre les autres sur un piédestal et à s’auto-dévaluer. Elle néglige ainsi ses besoins et ses émotions qu’elle fait passer en arrière-plan, au profit des besoins et envies des autres personnes. Ce besoin ultime d’apporter incessamment de l’aide aux autres, lui permet inconsciemment de tenter de revaloriser son image de Soi pour panser sa blessure narcissique
La dépendance affective du sauveur
Le syndrome du sauveur peut être vu comme une garantie inconsciente en besoins affectifs. Comme nous l’avons vu précédemment, il s’agit d’un trouble qui induit de la souffrance, mais il permet toutefois l’acquisition de bénéfices secondaires (avantages cachés, parfois inconscients et qui font que la personne n’a pas vraiment envie que la situation évolue).
En d’autres termes, le cerveau de la personne atteinte a décidé que cette place de Sauveur, bien que parfois inconfortable (à cause des inconvénients et de la souffrance qu’elle implique), reste néanmoins intéressante par ce qu’elle apporte en avantages. Ces bénéfices secondaires ne sont pas conscientisés par la personne, mais ils pèsent pourtant lourd dans la balance.
Le sentiment d’être aimé par exemple, est plus important que les inconvénients de ce rôle que la personne atteinte s’impose.
- Être aimé, admiré, utile
- Avoir le sentiment d’être
« quelqu’un de bien » - Avoir une belle image de soi
- Ne pas être abandonné
- Devoir tout faire pour « sauver » les autres
- Être responsable des autres
- Se plier à leur volonté, envies, besoins
- Faire les choses à leur place
- Se faire passer après eux
- Éviter le conflit de manière générale
Schéma des avantages et des inconvénients de la place de sauveur
Les bénéfices secondaires de la place du sauveur sont donc en lien avec le sentiment de garantie d’apports affectifs. En échange, la personne atteinte du syndrome se donnera inconsciemment l’obligation de sauver les autres ou de leur apporter de l’aide continuellement. Elle se sentira responsable d’eux. C’est l’échange inconscient pour lequel la personne atteinte du syndrome du sauveur a « signé ». Elle croit au fond d’elle qu’elle ne peut être aimée et estimée par les autres, seulement si elle fait des actes pour mériter cet amour de l’Autre et non juste pour qui elle est.
Comment reconnaitre le syndrome du sauveur et s’en libérer ?
Voici les 7 symptômes les plus courants pour savoir si vous (ou quelqu’un que vous connaissez) souffrez du syndrome du sauveur :
- Symptôme n°1 : Une faible estime de Soi (l’estime de Soi c’est la valeur que vous vous accordez à vous-même) et un manque de confiance en Soi (c’est la confiance que vous avez en vos capacités, la conviction que vous êtes capable).
Le syndrome du sauveur permet d’essayer de réparer ce manque d’estime de Soi dont souffre la personne atteinte. C’est une tentative d’auto-guérison grâce à la valorisation et à la reconnaissance que manifestent les autres personnes, en réponse aux comportements d’aide.
- Symptôme n°2 : Un fort sentiment de devoir prendre soin des autres et de les « sauver »
La personne atteinte du syndrome du sauveur vit avec une volonté permanente de solutionner les problèmes des autres, y compris lorsque cela impacte directement sur son bien-être personnel. Elle peut également ressentir un fort sentiment de rejet (impliquant colère et frustration) lorsque la personne refuse l’aide apportée. En effet, elle ne comprend pas ce refus d’aide, alors qu’elle agit « pour le bien » de l’autre. Le sauveur est quelqu’un qui a de fortes valeurs de don, d’altruisme, de solidarité, d’aide aux personnes semblant faibles.
- Symptôme n°3 : Une peur profonde d’être abandonné
La personne atteinte du syndrome du sauveur subit la plupart du temps une insécurité émotionnelle (peur de perdre les relations avec les proches, amis, famille, conjoints, etc.). Cette angoisse la pousse à créer des relations fusionnelles afin de réduire sa peur de l’abandon notamment.
- Symptôme n°4 : Une tendance à faire passer les besoins et les envies des autres avant les siens
La personne atteinte du syndrome du sauveur affirme ne pas spécialement avoir d’avis et préfère d’ailleurs que l’on ne le lui demande pas. Lorsque qu’il lui est demandé, elle répond habituellement « C’est comme tu veux » ou « Ce que tu préfères ».
Elle a aussi tendance à oublier ses propres limites ou à ne pas les prendre en compte : elle ne sait pas dire non et se sacrifie souvent au profit des autres.
- Symptôme n°5 : Un attrait pour les personnes fragiles
La personne atteinte du syndrome du sauveur est attirée par les personnes fragiles, semblant avoir besoin d’aide. Ses relations sont donc souvent conditionnées par cet échange inconscient (cf : schéma de la balance) qui évoque une dette. Il est donc difficile pour la personne atteinte de ce syndrome, d’établir des relations saines et équilibrées. Avec la dette entre la personne aidante et la personne aidée, les relations deviennent co-dépendantes voire fusionnelles et peuvent rapidement basculer dans la toxicité.
En amour par exemple, le choix du partenaire est généralement tourné vers une personne qui a besoin d’elle pour avancer dans la vie.
- Symptôme n°6 : Un mal-être général
Le niveau de bien-être de la personne atteinte du syndrome du sauveur est souvent défini par ce qu’elle fait pour les autres et la satisfaction qu’elle en tire. Par ailleurs, elle éprouve un sentiment de culpabilité lorsque des personnes sont dans la difficulté et peut être très déprimée et se sentir inutile lorsqu’elle ne peut aider personne.
La personne atteinte de ce syndrome est tellement concentrée sur les besoins des autres, qu’elle oublie les siens parfois au détriment de sa propre santé mentale et physique. Elle peut ainsi aller jusqu’à l’épuisement.
- Symptôme n°7 : Un sentiment de manque de reconnaissance et de considération des autres
La personne atteinte du syndrome du sauveur peut parfois se sentir utilisée et avoir l’impression de ne pas être traitée à sa juste valeur, malgré tout ce qu’elle fait pour aider les autres.
Le syndrome du sauveur conduit la personne qui en est atteinte à un sentiment d’impuissance général. Elle peut éprouver une impuissance à se faire entendre, à se respecter Soi (ses limites, ses besoins, ses émotions), une impuissance affective, professionnelle ou parentale, etc. La personne atteinte ressent une impuissance à réagir pour elle-même. Cela peut la renvoyer à une frustration, une colère et finalement à un sentiment d’injustice puisqu’elle fait tout pour aider les autres mais que personne ne lui donne de l’aide en retour.
Vous vous reconnaissez (vous ou une personne que vous connaissez) dans certains de ses symptômes ? Alors comment faire pour se débarrasser et se libérer de ce syndrome du sauveur et ainsi alléger les souffrances qui en découlent ? Voici 7 astuces et solutions pour soigner le syndrome du sauveur.
Comment se débarrasser du syndrome du sauveur en 7 étapes ?
- Étape 1 : Prendre conscience de son comportement dysfonctionnel
La première étape pour se débarrasser du syndrome du sauveur est la prise de conscience. Comme pour beaucoup de troubles en psychologie, il s’agit en premier lieu de s’apercevoir qu’il y a un problème et qu’il procure de la souffrance. Il sera important d’admettre que le « devoir de sauver » les autres en permanence, peut être lié à un manque d’estime de Soi et à un besoin d’être reconnu et valorisé. Pour se libérer du syndrome du sauveur, un travail sur l’estime de Soi et la confiance en Soi sera donc incontournable. Ce travail permettra à la personne d’accepter qu’elle est aimée pour sa valeur et pour qui elle est de manière générale, et non seulement pour ses comportements d’assistance à autrui.
- Étape 2 : Définir ses limites et apprendre à dire non
Il sera primordial de définir ce que vous pouvez faire ou non pour les autres (ce qui est ok pour vous, et ce qui ne l’est pas). Une fois vos limites établies, il s’agira de les garder au premier plan lors de vos prises de décisions, pour les respecter et les faire respecter par les autres. Cela évitera de vous retrouver submergé par leurs demandes et leurs besoins.
Apprendre à dire non sera aussi important pour vous libérer du syndrome du sauveur. Dire non c’est savoir respecter ses limites et ses besoins. Ça ne signifie pas être égoïste, mais de ne pas vous sacrifier en permanence au profit des autres ou au détriment de vous et votre santé.
- Étape 3 : Se concentrer sur son bien-être et ses besoins
Il sera important d’apprendre à identifier vos besoins et ensuite vous recentrer sur eux afin d’y répondre de façon adaptée. Vous apprendrez à agir dans l’intérêt de votre propre bien-être. Car si vous ne le faites pas vous, qui le fera à votre place ?
- Étape 4 : Accepter que tout n’est pas parfait
Laissez tomber votre perfectionnisme, il ne vous rendra que malheureux. Les personnes atteintes du syndrome du sauveur cherchent la perfection en tout et cherchent des relations fusionnelles. Pour vous libérer de ce syndrome, vous devez accepter que vous n’êtes pas parfait mais juste humain, et donc faillible. C’est aussi le cas des autres qui vous entourent. L’autre n’agira pas toujours comme vous vous y attendez. Et ce n’est pas grave.
Tout sera toujours imparfait alors lâchez prise sur cette bataille perdue d’avance qui vous épuisera en vain, vous peinera et pourra vous mettre en colère face à l’impuissance. Vous ne pouvez pas contrôler les relations. Mais vous pouvez vous contrôlez vous, vos attentes et vos réactions face aux différentes situations.
- Étape 5 : Apprendre à demander et à accepter l’aide
Comme tous les sauveurs vous pensez avoir pour mission de sauver tout le monde et vous avez la croyance d’être infaillible. Vous ne pouvez donc pas demander de l’aide aux autres lorsque vous en avez réellement besoin. En demandant de l’aide vous prendriez le risque d’être faillible et imparfait (et donc moins digne d’amour, cf étape 4) et également le risque d’être déçu.
Pourtant les personnes atteintes de ce syndrome souffrent. Accepter l’aide d’un professionnel de santé leur serait profitable pour se débarrasser de ce syndrome et ainsi améliorer leur bien-être. Prendre soin des autres à outrance montre à quel point la personne a elle-même besoin de soins et d’attention. Un accompagnement avec un psychologue pourrait leur être bénéfique pour identifier les schémas comportementaux qui les mettent en difficulté au quotidien et les aider à trouver des solutions pour les modifier.
/!\ Le sauveur craint tellement de demander de l’aide pour lui, qu’il peut parfois s’enfermer dans sa souffrance. Certains d’entre eux plongent dans la dépression, l’épuisement et la frustration, car ils ne savent pas s’occuper d’eux même, ni exprimer leurs besoins.
- Étape 6 : S’accorder des moments de plaisir
Reposez-vous et penser à vous. Les efforts perpétuels pour aider et sauver des personnes peuvent être extrêmement fatigants. D’autant plus si vous ne prenez pas soin de vous. La personne atteinte du syndrome du sauveur est bien souvent dans un schéma psychologique d’abnégation. C’est-à-dire qu’elle pense et fait toujours les choses en fonction des autres et non pour elle. Elle fait aussi les choses par devoir « comme un bon petit soldat » dira-t-on.
Il est donc très important pour vous débarrasser du syndrome du sauveur, de faire des choses sans aucune contrainte ou sentiment de devoir, juste pour votre plaisir et pour vivre des moments joyeux. Cela peut être du sport, une activité de détente ou un passe-temps, l’idée est simplement de prendre du temps pour vous-même. Et oui c’est tout bête à dire mais pourtant c’est hyper important.
Cela permet une pause, un lâcher prise sur le devoir incessant de sauver et d’aider les autres. Une pause durant laquelle vous être concentré sur vous, vos besoins et vos envies.
- Étape 7 : Soyez vous-même ! Vous n’êtes pas Superman !
Les Autres (qu’ils soient des inconnus, votre entourage, vos collègues, votre famille, vos amis, etc.) ne vous apprécient pas seulement parce-que vous faites des choses pour eux. Ils vous aiment car ils apprécient votre personnalité, votre caractère, votre manière de faire des choix et vos défauts aussi. Ils ne sont ni contraints par quelque contexte que ce soit, ni n’attendent de vous quelque chose en retour. Alors soyez vous-même ! C’est beaucoup plus simple, plus épanouissant et moins fatiguant que de chercher à montrer une version parfaite qui finalement n’est pas vous.
Vous pensez peut-être que les personnes vous abandonneront si vous cessez de faire des choses pour eux et que vous commencez à penser à vous. Je peux vous garantir que ce n’est pas le cas. Les personnes avec qui vous avez noué une relation de co-dépendance seront certainement frustrées et iront effectivement chercher un nouveau sauveur, un autre que vous c’est vrai. Mais même si cela semble compliqué pour vous d’y croire aujourd’hui, vous ne vous en sentirez que libéré. De plus, les personnes qui vous aiment pour qui vous êtes réellement, elles, ne vous abandonneront pas et seront heureuses de vous voir plus épanoui.
Il vous sera nécessaire d’apprendre à vous aimer inconditionnellement pour accepter cette réalité et vous libérer du syndrome du sauveur.
Nous avons vu les 7 solutions indispensables pour vous libérer définitivement du syndrome du sauveur. Évidemment, ce n’est pas une solution magique qui fonctionne en un claquement de doigts. Il s’agit plutôt d’un travail et d’efforts à faire au quotidien dans le but de pouvoir aller mieux. Ce travail peut prendre du temps. Mais aucune chose qui a de la valeur ne s’obtient sans effort, n’est-ce pas ?
Il est important que vous puissiez être patient et bienveillant avec vous, au cours de ce travail. Un accompagnement avec un professionnel peut rendre le cheminement moins difficile et moins douloureux.
Le syndrome du sauveur en thérapie
Après une prise de conscience indispensable, la personne atteinte du syndrome du sauveur pourra commencer un travail en thérapie afin de dépasser ses souffrances. Ce trouble comme d’autres, peut être traité et on peut s’en sortir. Il n’y a évidemment rien de magique là-dedans, et heureusement ! Car si la solution était magique, elle ne vous permettrait pas d’apprendre de votre histoire de votre vie et ne pas reproduire vos schémas. La personne atteinte de ce syndrome doit d’abord en prendre conscience et avoir envie de s’en libérer. Elle devra ensuite s’investir dans la thérapie pour avancer et pouvoir guérir de son syndrome. Il est intéressant de noter que le syndrome du sauveur peut varier en intensité en fonction des personnes.
L’objectif de la thérapie ne sera évidemment pas de passer d’un extrême à l’autre mais bien d’être capable d’aider autrui, sans cette dimension de recherche de reconnaissance qui vous complique la vie. En bref, sans en souffrir.
La thérapie va servir à la reconstruction psychologique des schémas de pensées et des croyances limitantes afin de corriger ce dysfonctionnement. Un travail sur les besoins de la personne atteinte, sur son estime de Soi, ainsi que ses croyances négatives sera fait en priorité.
Pour résumer, la thérapie sert à impulser du changement, lorsque la souffrance est devenue trop importante pour pouvoir continuer dans l’état. Si vous souhaitez être accompagné dans votre démarche de soin, vous pouvez prendre rendez-vous ici.
Croyez en vous, le changement commence par vous !
Prenez soin de vous,
Salomé CAVERY
Psychologue Clinicienne et Psychothérapeute à Lyon et en téléconsultations,